Les week ends se suivent...
....et ne se ressemblent pas.
Pâques m'a vue, non pas en Bretagne, mais dans le Territoire de Belfort, un petit village juste à côté de Belfort.
Un retour à la terre natale en quelque sorte. Et ce fut Pâques aux tisons !
Mais cela ne nous a pas empêcher de nous ballader. Emmener Cher et Tendre à la Tour de la Miotte, autre point culminant de Belfort, puis les fortifications du Château et saluer son Lion, comme il se doit.
Et moi qui rêvait de neige fut gâtée. Pour un peu, le sapin de Noël ressortait du grenier...
Vous remarquerez que les gens du coin ont tous la même activité sportive le matin !!!
Par contre, à une cinquantaine de kilomètres de là, point de neige. Nous nous sommes donc promener à travers les rues de l'Ecomusée d'Alsace sans souci. Les cigognes ont élu domicile à l'année et à l'occasion de Pâques, des lapins et des oeufs en chocolat étaient à découvrir : un grand plaisir pour les enfants.
Si vous voulez en savoir plus, cliquez ici
Le lendemain, jour de notre retour sur Paris. Une dernière promenade dans les bois recouverts de neige. Elle craque sous nos pas. Nul n'est venu encore foulé cet espace. Cela me rappelle un peu la Laponie.
L'air est vif, le silence juste troublé par quelques cris d'oiseaux. Nous cheminons tranquillement, profitant
des derniers instants blancs avant la grisaille parisienne.
Pâques m'a vue, non pas en Bretagne, mais dans le Territoire de Belfort, un petit village juste à côté de Belfort.
Un retour à la terre natale en quelque sorte. Et ce fut Pâques aux tisons !
Mais cela ne nous a pas empêcher de nous ballader. Emmener Cher et Tendre à la Tour de la Miotte, autre point culminant de Belfort, puis les fortifications du Château et saluer son Lion, comme il se doit.
Et moi qui rêvait de neige fut gâtée. Pour un peu, le sapin de Noël ressortait du grenier...
Par contre, à une cinquantaine de kilomètres de là, point de neige. Nous nous sommes donc promener à travers les rues de l'Ecomusée d'Alsace sans souci. Les cigognes ont élu domicile à l'année et à l'occasion de Pâques, des lapins et des oeufs en chocolat étaient à découvrir : un grand plaisir pour les enfants.
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Le lendemain, jour de notre retour sur Paris. Une dernière promenade dans les bois recouverts de neige. Elle craque sous nos pas. Nul n'est venu encore foulé cet espace. Cela me rappelle un peu la Laponie.
L'air est vif, le silence juste troublé par quelques cris d'oiseaux. Nous cheminons tranquillement, profitant
des derniers instants blancs avant la grisaille parisienne.
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